Quelques infos sur le livre :
- Auteur : CD Reiss
- Serie : Songs of submission
- Genres : Erotique
- Editeur : Marabout
- Collection : Red Velvet Poche
- Publication: 25/ 05/ 2016
- Edition: Broché
- Pages : 330
- Prix : 7,50€
- Rating:
Résumé :
Sensuelle, rayonnante, Monica aux prises entre son petit boulot de serveuse et le souvenir douloureux de son ex, Monica s’escrime afin de percer sur la scène musicale très « select » de L.A.
Un jour, pendant son service, elle renverse un verre sur Jonathan, qui n’est autre que le richissime propriétaire du club où elle travaille. Dès lors, celui-ci n’a de cesse de la séduire. Monica a été mise en garde au sujet de ce séduisant millionnaire au cœur brisé, célèbre pour ses conquêtes aussi nombreuses qu’éphémères, et son penchant pour les femmes soumises. Mais résistera-t-elle longtemps à la tentation ? Et saura-t-elle respecter les règles du jeu ?
Avis de Ninie :
Tout d’abord je tiens à remercier Camille et Marabout pour m’avoir offert l’opportunité de lire ce livre en m’accordant leur confiance dans le cadre de ce partenariat.
S’il y a quelque chose que j’aime chez Marabout c’est bien sa collection Red Velvet, et ce que j’aime par-dessus tout c’est les romances érotiques avec un peu de BDSM, mais si en plus ça parle de musique, c’est le grand luxe. Avec cette nouvelle série qui se nomme « Songs of Submission » je suis plus que conquise car elle englobe tout ça.
Sur le coup en découvrant la couverture je me suis dis mais c’est quoi ce titre ? Et au final en ouvrant le roman, j’ai compris le pourquoi du comment de ce titre. Le roman est découpé en 3 parties qui sont consacrées spécifiquement à la relation entre Monica et Jonathan.
Monica est une jeune femme qui chante dans le groupe « Spoken Not Stirred », accompagné de Gaby sa meilleure amie suicidaire au piano, Darren son ex petit-ami à la batterie et Harry un ami à la guitare. Ils rêvent de percer dans l’industrie de la musique à L.A. mais pour le moment ils en sont loin. Monica bosse également en tant que serveuse. Monica ne fait plus confiance aux hommes depuis sa rupture précédente, elle a l’impression de se laisser engloutir dans ses relations amoureuses. Elle est également perturbée par la tentative de suicide de sa meilleure amie et de son état dépressif constant. La musique est leur seule échappatoire à toutes les deux.
Jonathan Drazen, c’est un séduisant roux (j’avoue avoir eu du mal avec la couleur de cheveux ce n’est pas trop mon genre mais il en faut pour tous les goûts) qui attire la demoiselle dans ses filets. Il est assez mystérieux, cache des choses, on a du mal à le cerner, à savoir ce qu’il pense de la relation naissante qu’il entretient avec la jeune femme, même s’il ne lui a rien promis.
J’ai beaucoup aimé ma lecture, ce n’est pas un coup de coeur car il manquait un petit quelque chose pour me faire palpiter un peu plus, mais la plume de l’auteur CD Reiss est vraiment très agréable à lire, les scènes de sexe sont nombreuses mais variés et donc ne se ressemblent pas. J’ai tourné les pages très rapidement une fois prise dans l’histoire, j’avoue attendre le prochain roman avec impatience le mois d’août me semble encore bien loin.
Extrait :
Drazen était le patron de mon patron. C’était le propriétaire de l’hôtel, mais nos chemins ne se croisaient jamais. Apparemment, il voyageait beaucoup, et il passait très peu de temps sur le toit quand il était en ville. Je ne l’avais donc jamais rencontré. Ce rebondissement dans la soirée m’ennuyait plus qu’autre chose. Je venais de recevoir l’ovation de ma vie dans un club très sympa, et je savourais encore la chaleur de ce succès. Je n’avais pas besoin de faire mes preuves une fois de plus – des preuves de quoi, d’ailleurs ? En dehors de ma musique, je me fichais de tout.
Le bar était comble : bobos overbookés, gros bonnets de Hollywood et autres parasites du même acabit. La piscine formait un grand rectangle au centre de la terrasse, cernée de fauteuils rouges. Sur le côté se trouvait un espace cocktail doté de tables et de chaises. De petites tentes équipées de canapés étaient disposées sur le pourtour du toit et, quand les rideaux étaient fermés, il fallait qu’ils le restent – sauf si on repérait quelqu’un qui semblait avoir investi les lieux sans payer.
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