Quelques infos sur le livre :
- Auteur : Audrey Carlan
- Serie : Calendar Girl
- Genres : Romance
- Editeur : Hugo & Cie
- Collection : New Romance
- Publication: 06/04/ 2017
- Edition: Broché
- Pages : 160
- Prix : 9,95€
- Rating:
Résumé :
Le premier contact avec Mason Murphy est assez rude ! Le joueur phare de l’équipe des Red Sox est un véritable goujat. Mais il ne connaît pas encore le caractère bien trempé de Mia qui va rapidement le faire changer d’attitude.
Un mois entourée des joueurs de son équipe de base-ball favorite, Mia est aux anges. Pourtant, son bonheur va être entaché d’une mauvaise nouvelle. Pourra t-elle surmonter cette déception ?
Avis de Ninie :
Tout d’abord je tiens à remercier Olivia, Stéphanie et Hugo & Cie pour m’avoir offert l’opportunité de lire ce livre en m’accordant leur confiance.
Je viens tout juste de finir ma lecture et je ressors assez ravie de ma lecture, j’ai lu plusieurs fois que Mason “Mace” Murphy a fait plusieurs fois mauvaise impression. Pour moi ça a de suite été tout le contraire alors d’accord il a des manières de rustres, mais en fait il m’a fait pensé à tous les héros sportifs que j’ai pu découvrir au cours de mes différentes lectures et je dois avouer j’ai aimé ça.
Monsieur Avril (ça fait penser à un calendrier sexy) est le genre d’homme qui ne pense pas vraiment avec son cerveau, c’est même tout le contraire. Dès sa rencontre avec Mia, il est évident que le jeune homme ne pense qu’à une chose et il n’est pas discret du tout dans sa manière de se comporter avec le sexe opposé. Heureusement pour nous, Mace change au contact durant le mois qu’il va passer au côté de l’escort, qui va surtout se révéler être une amie et une aide précieuse auprès de lui.
J’ai moins eu de mal avec le jeune homme qu’avec les réactions de Mia, elle est sans cesse chamboulée, ses clients ne la laissent pas indifférente à chaque mois qui passent, elle pense énormément à Wes, mais couche avec d’autres hommes et son monde est bouleversé quand elle apprend que celui-ci n’attend pas sagement son retour, mais qu’il est plutôt bien profondément enfoui dans une autre femme qu’elle. Elle s’oublie alors rapidement dans les bras d’un autre (je ne vous dirais pas lequel, oui ?). C’est assez difficile de comprendre ses réactions et ses décisions, moi j’aurais pris le premier avion pour le rejoindre, mais ce n’est pas moi l’héroïne de ces différents romans 😉
Toujours est-il que ce quatrième volet d’Audrey Carlan prend encore une fois une tournure inattendue, je regrette cependant que nous n’ayons pas pu profiter du voyage à Boston pour faire la découverte du coin. Et si j’ai aimé les moments qui se passent en compagnie des membres de l’équipe de base-ball, j’ai regretté qu’ils ne soient pas plus nombreux.
Audrey Carlan a une plume vraiment très addictive, c’est maintenant le quatrième opus et j’éprouve toujours la même sensation à chacune de mes lectures, comme une sorte d’addiction. Les pages se tournent avec gourmandise et j’ai hâte de découvrir le prochain épisode qui va se dérouler à Hawaï.
Extrait :
Il se rapproche de nouveau, saisit mes hanches et les plaque contre les siennes.
– J’ai hâte qu’on soit amicaux, susurre-t-il en frottant son bassin contre le mien, me faisant sentir son érection grandissante.
Je soupire et le repousse en décidant de lâcher l’affaire.
– Contente-toi de prendre mes sacs.
C’est alors qu’il siffle son chauffeur, comme un chien, et je grimace en enlevant ses mains de mes hanches.
– T’en fais pas, Bébé, tu t’habitueras tôt ou tard, dit Mason.
Je lève les yeux au ciel et j’ouvre moi-même la portière pour me faufiler à l’intérieur. Il me suit et, une fois installé en face de moi, frappe dans ses mains.
– Tu veux un petit remontant ?
J’écarquille les yeux.
– Il n’est même pas midi !
– Il est midi quelque part dans le monde, lance-t-il en me faisant un clin d’œil.
Il ouvre le minibar et en sort une bouteille de champagne en se léchant les lèvres. Mon corps réagit instantanément, je ressens des fourmillements entre les jambes. Je secoue la tête et croise les cuisses. Ce type est un enfoiré, mais je ne peux pas nier que c’est un très bel enfoiré.
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