Maude Okyo / Sexy Coach, Tome 1 : All for you
Quelques infos sur le livre :
Sexy Coach
- Auteur : Maude Okyo
- Serie :
- Genres : Romance, Chicklit
- Editeur : Harlequin
- Collection : HQN
- Publication: 13/ 04/ 2016
- Edition: Numérique
- Pages : 173
- Prix : 3,99€
- Rating:
Résumé :
Selon l’INSEE, 42 % des hommes de plus de 15 ans résidant en France sont célibataires. Je n’aime pas trop les maths, alors je vais vous laisser faire le calcul, mais je peux déjà vous dire que ça fait un sacré paquet de clients potentiels. Mon métier ? Coach en séduction : j’aide les hommes à faire la rencontre qui changera leur vie. Mais parfois, mes missions sont un peu plus compliquées. Comme celle que l’on vient de me confier : coacher Soren Triach, un sportif-mannequin-acteur à l’affiche du prochain blockbuster. Soren ne ressemble pas du tout à mes clients habituels. Premièrement, il est très, très sexy. Deuxièmement, il est très, très sex… Bref, Soren est une arme de séduction massive, et mon rôle va surtout consister à lui apprendre à contrôler son petit côté brut de décoffrage. Enfin, pour ça, il faudrait déjà que j’arrive à me contrôler moi-même en sa présence…
Avis de Ninie :
Tout d’abord je tiens à remercier Harlequin et Netgalley pour m’avoir offert l’opportunité de lire ce livre en m’accordant leur confiance dans le cadre de ce partenariat.
J’attendais avec impatience la sortie de Maude Okyo, depuis que j’avais découvert sa novella « La doublure« . J’avais hâte de la découvrir dans quelque chose d’un peu plus long, et c’est le cas cette fois-ci avec Sexy Coach. Maude Okyo a une plume directe, un style franc, elle ne mâche pas ses mots, elle fait du bien au cerveau (et ce n’était pas que pour la rime). C’est une lecture qui fait du bien au moral, ses personnages sont attachants, amusants, on pourrait facilement s’imaginer être à leur place. Bref, c’est une lecture qui fait du bien au moral.
Et sinon Sexy Coach ça parle de quoi ? De coach, de sport, de fleurets, de cinéma, de filles un peu foldingues, mais surtout d’un homme super sexy qui fait flamber les culottes à conditions d’aimer les gars hors-normes.
Mila Manet est une coach en séduction (ça m’a de suite fait penser à la chanson de Keen’v ou alors au film avec Will Smith, d’ailleurs l’auteur y fait référence), son truc à elle c’est d’aider les hommes à prendre confiance en soi et à laisser le séducteur qui sommeille en eux s’exprimer. Mila est loin d’être superficielle, cupide ou intéressée elle a juste a coeur d’aider son prochain en lui redonnant confiance. Elle prodigue ses conseils avec parcimonie et elle le fait très bien.
Son nouveau client : un ancien rugbymen du nom de Soren Triach. Soren est l’archétype même du fantasme masculin par excellence (il faut dire que le modèle choisi par l’auteur est tout simplement séduisant). Grand, beau, ténébreux… mais surtout brute de décoffrage. Mila doit l’aider à séduire son futur public quand il incarnera le premier rôle masculin dans un grand métrage. Seulement, elle était loin de s’attendre à succomber au charme de cet homme et encore moins à céder à ses envies.
J’étais vraiment très curieuse de découvrir comment allait évoluer leur relation, d’autant plus que Mila n’est pas vraiment du genre à mêler travail et plaisir, j’avais également envie de découvrir d’autres péripéties de Mila et de ses amies avec leurs prénoms si merdiques, mais là avec la dernière page tournée je n’ai envie de dire qu’une chose. Mais c’est quoi cette fin ? Pourquoi a-t-elle osé faire un truc pareil ?
Je vais donc prendre mon mal en patience et attendre la suite, mais franchement Maude Okyo ne passer pas par là, car je n’ai qu’une envie là et c’est de vous arracher les cheveux.
Extrait :
Il était tellement masculin, j’irais même plus loin, tellement « mâle » que je restais un peu ébahie. Je ne pensais pas m’émouvoir à ce point… Le terme me semblait souvent usurpé, mais pas là. Pauvre Soren, tu as dû beaucoup suer… Et si tu retirais tes vêtements pour nous montrer comment tu es monté… fait ? Ah ! Cerveau ! Je me rendis compte que j’en oubliais de respirer, ce qui ne devait pas aider ce dernier à fonctionner correctement.
D’un œil professionnel – si, si – je le passai au scanner. Côté look, les dreadlocks pouvaient ne pas plaire à tout le monde. Moi-même je n’avais jamais vraiment apprécié ça, mais sur lui… je tombais sous le charme, cela lui donnait un air… un air… Où s’était barré mon vocabulaire ? « Waouh » n’était pas un vrai mot et « Bordel de Dieu » en comptait trois.
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