Battista Tarantini / Above all, tome 2 : Résister
Quelques infos sur le livre :
Résister
- Auteur : Battista Tarantini
- Serie : Above All
- Genres : Romance, Erotisme
- Editeur : BMR
- Collection :
- Publication: 05/ 07/ 2017
- Edition: Broché
- Pages : 322
- Prix : 15,90€
- Rating:
Résumé :
Parce qu’elle a accepté de relever le défi de ses supérieurs et de devenir pilote de chasse embarquée, Alexi a suivi un programme d’entraînement intensif. Avec sérieux et détermination, elle a su mener à bien sa formation en impressionnant tout l’équipage, et plus particulièrement Andreas van Allen, le tumultueux capitaine du navire, devenu son instructeur de vol, et surtout son amant… Alors que leur relation prend de la vitesse, il devient de plus en plus difficile pour eux de faire la part des choses entre vie professionnelle et vie privée. Difficile aussi pour Alexi de se frayer un chemin au cœur du mystère qui entoure la vie d’Andreas. Lorsque le navire accoste à Hawaï pour une courte permission, une tornade de révélations souffle sur leur relation cachée, rendant plus précaire que jamais l’équilibre qui la maintenait à flot…
Avis de Ninie :
Tout d’abord je tiens à remercier Matéia et les éditions BMR pour m’avoir offert l’opportunité de lire ce livre en m’accordant leur confiance dans le cadre de ce partenariat.
Aussitôt commencé, aussitôt dévoré. Pour ce second tome ce n’est pas une relecture, mais bien une première lecture car j’ai honte d’avouer que même en ayant la précédente édition à la maison, je n’ai pas eu le temps de la découvrir, c’est maintenant chose faite et OMG !! J’ai envie d’étriper Battista Tarantini parce que je n’avais pas encore la suite de la nouvelle version entre les mains et que j’ai du fouiller parmi tous les livres que je possède pour retrouver le dernier tome, la fin de celui-ci étant tout à fait cruelle.
Avant toute chose, j’ai besoin de demander si ce n’est que moi ou si effectivement le charmant gars sur la couverture ne serait pas Goran Višnjić ? Vous ne trouver pas qu’il ressemble au docteur Luka Kovač de la série “urgences” ? Moi c’est celui à qui j’ai pensé pour représenter le Capitaine Andreas Van Allen pendant toute ma lecture. Ça m’a permis de mieux visualiser les scènes torrides, miam miam !!
Nous retrouvons donc Alexi Snow, cette jeune femme au tempérament de feu qui se retrouve catapulter dans une formation accélérée afin de devenir un pilote de chasse chevronné. La demoiselle à la grande gueule impressionne l’équipage par sa capacité à réussir tout ce qu’elle entreprend. Van Allen est sous le charme ! Mais même envoûté par la séduction de la jeune femme, Ice n’en reste pas moins un salaud. Il souffle le chaud et le froid, avant de faire fondre la banquise et de succomber pour Snow.
Dans ce second opus, les choses sérieuses se mettent en place, on découvre les premières manoeuvres et les premiers envols. Les sensations sont justes et délicieuses. Le couple commence à s’attacher, chacun capitulant devant l’autre, s’oubliant pendant leurs envolées, s’ouvrant aux promesses faites sur l’oreiller. Ils leur devient de plus en plus difficiles de faire la part des choses entre leur relation et leurs fonctions hiérarchiques.
De nouveaux personnages font leur apparition, et certains dont le rôle n’est que secondaire prennent un peu plus d’importance. J’aime énormément la dynamique qui se joue sur le Percival, en plus on en profite pour voyager et découvrir la Polynésie et ses archipels. Et en même temps un petit bout d’histoire. Battista Tarantini nous enflamme et nous rend fébrile face à ses hommes, ses aviateurs au grand coeur.
Vous l’aurez donc compris, j’ai adoré ce second épisode, je regrette juste la fin qu’elle fait subir à notre Teddy Bear, mais ça ne fait que nous le rendre plus humain et magnifique à nos yeux. Si vous n’avez pas encore eu l’occasion de découvrir cette série, vous attendez-quoi ? Moi je me réjouis de savoir que j’aurais l’occasion de croiser l’auteur au #FestivalNewRomance à Cannes fin septembre.
Extrait :
Le contraste entre la fraîcheur du bois et la chaleur moite de mon ventre encore parcouru de délicieux picotements me fit frissonner. Je crus même une seconde qu’Andreas avait tenté de m’envelopper dans ses bras, avant de se rétracter brusquement. Il posa néanmoins ses mains sur le bas de mon dos et laissa courir ses doigts sur ma peau fiévreuse, me prodiguant ce qui ressemblait beaucoup à des caresses.
— Ça va ? chuchota-t-il doucement.
Ainsi en allait-il de nous : un moment de grâce pour des dizaines de situations confuses. Lorsqu’elles n’étaient pas carrément insupportables.
— Je crois que oui…
Mais la glace était solide, l’hiver loin d’être terminé.
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