Quelques infos sur le livre :
L’offre
- Auteur : Kaarina Halle
- Serie : The McGregor Brothers
- Genres : Romance, Contemporaine
- Editeur : Hugo & Cie
- Collection : New Romance
- Publication: 02/ 06/ 2016
- Edition: Broché
- Pages : 360
- Prix : 17€
- Rating:
Résumé :
Nicola Price élève seule sa fille de cinq ans, et sa vie est loin d’être simple depuis que son petit ami l’a quittée. Après avoir eu un super-boulot, un appartement de rêve et une garde-robe à faire pâlir toutes ses amies, elle vit aujourd’hui dans un studio pourri, sans travail et sans amour.
La solution à tous ses problèmes pourrait venir de Bram, le grand, beau et riche frère aîné de son ami Linden. Il lui propose de lui louer un appartement dans un immeuble qui lui appartient, le temps qu’elle puisse se remettre sur pied.
Mais elle va découvrir à ses dépens que rien n’est gratuit dans la vie. A-t-elle eu tort d’accepter l’offre du bel Écossais ?
Avis de Ninie :
Tout d’abord je tiens à remercier Stéphanie et Hugo & Cie pour m’avoir offert l’opportunité de lire ce livre en m’accordant leur confiance.
J’ attendais avec impatience ce second tome, il faut dire que Nicola Price avait déjà retenu mon attention dans le premier opus de Karina Halle. Ce second tome est très différent du premier qui partait sur un pacte, ici c’est une offre assez surprenante qui est proposée à Nicola et qui laisse présager quelque chose d’extraordinaire au fur et à mesure de la lecture.
Le prologue de l’histoire se passe lors du mariage de Stéphanie et Linden, on y retrouve Nicola Price, mère célibataire, elle élève seule sa petite fille âgée de 5 ans, Ava et Bram McGregor, le frère de Linden. Et déjà le charme écossais est à l’honneur dans ces quelques pages. Le premier chapitre se situe 6 mois plus tard, Nicola perd son emploi et se retrouve du jour au lendemain sans revenus, elle se voit donc contrainte à d’énormes changements dans sa vie. Lorsque Bram lui propose une offre qu’elle ne peut refuser, Nicola voit là l’occasion d’une nouvelle chance, mais sa fille tombe gravement malade et la vie de la jeune femme s’en retrouve encore une fois basculée.
Nicola est une jeune femme assez indépendante et je l’ai trouvé très forte personnellement, ça doit être difficile d’être mère célibataire surtout avec un enfant de cet âge-là. En tant que maman, je peux comprendre certaines de ses réactions mais j’ai du mal à admettre qu’on puisse oublier qu’on est également une femme avant tout. Qu’il n’y a pas de mal à se faire du bien (oh ça sonne pervers dit comme ça) enfin bon vous m’avez compris, elle est une femme avant d’être une mère.
Bram quand à lui est assez différent de ce qu’il a toujours été jusqu’à présent. Tout le monde le considère comme un tombeur, un fêtard invétéré, alors qu’il est tout le contraire, il est généreux, désintéressé (enfin pas vraiment parce qu’il mijote quelque chose, mais bon vous verrez ce que je veux dire quand vous l’aurez lu), il a mûri est devenu plus mature et réfléchi, il ne peut pas nous laisser indifférente. En découvrant, les secrets de Bram, que j’ai d’ailleurs rapidement trouvé, je n’ai pas été plus surprise que ça, je m’en suis doutée assez rapidement. J’espérais juste me tromper mais au final ça ne fait que le rendre plus humain.
Karina Halle a une plume très agréable et encore une fois je suis sous le charme de « bram-a-lama-ding-dong », les écossais ont plus que l’air terriblement canons. J’ai une nette préférence pour ce second opus, j’adooooooooore les histoires avec les enfants ça donne un souffle de vie à l’histoire, ici il faut dire qu’Ava a réussi à me faire rire plus d’une fois pendant ma lecture. Alors même si je n’ai pas eu de coup de coeur, cette série est une jolie découverte pour toutes celles qui ont besoin d’évasion et de rencontrer le grand frisson avec un écossais 😉
Extrait :
Je n’avais pas l’intention de lui demander ce qu’il entendait par là, pourtant ma bouche s’est ouverte toute seule et j’ai mordu à l’hameçon.
– Les gens ont des devises qui te concernent ? ai-je demandé.
Son petit sourire satisfait s’est élargi.
– Oui, les femmes.
– Je vois, ai-je répondu tout en me creusant la tête pour trouver une répartie qui lui clouerait le bec.
– Quand c’est fini, Bram…
– … n’en a plus rien à foutre, a-t-il terminé.
Il a levé les yeux vers le ciel sombre et penché la tête, l’air songeur.
– J’ai aussi entendu : « Une nuit dans mon lit, cuisses ouvertes pour la vie. »
Ma bouche s’est tordue de dégoût.
– Mais c’est épouvantable.
Il a haussé les épaules.
– Ne prends pas l’air dégoûté avant de l’avoir essayé, ma belle.
Il a marqué une pause.
– Je suppose que c’est aussi une devise qui te correspond bien, elle aussi.
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