Quelques infos sur le livre :

Dirty Rich Love
- Auteur : Laurelin Paige
- Série : Dirty Duet
- Genre : Romance
- Editeur : Hugo & Cie
- Collection : Blanche
- Publication : 17/01/2019
- Edition : Broché
- Pages : 380
- Prix : 17€
- Rating :

L’amour peut-il exister dans la perversité ?
Dans ce deuxième volet de Dirty rich men, Sabrina découvre le terrible secret de Donovan Kincaid.
Il est pervers et riche, aussi pervers qu’il est riche, et il hante Sabrina comme aucun autre homme avant lui ne l’a jamais fait.
Et même après ce qu’elle a découvert, elle veut toujours lui parler, le toucher et s’abandonner à lui. Mais il y a un océan entre eux qu’il n’est pas possible de franchir d’un simple appel téléphonique ou d’un trajet en avion.
Pourtant, Sabrina est prête à tout, surtout que c’est elle qui a le pouvoir à présent. Et peut-être, une fois tous leurs secrets mis à jour, pourrait-il y avoir encore une chance pour eux ?
Et si le vice et la perversité entre eux pouvaient se transformer en amour ?…

Avis de Ninie :
Tout d’abord je tiens à remercier Olivia, Magali et Hugo&Cie pour m’avoir offert l’opportunité de découvrir ce roman en avant-première en m’accordant leur confiance dans le cadre de ce partenariat.
Il savait tout sur elle. Il faisait attention à tout ce qui la concernait.
DIRTY RICH LOVE – LAURELIN PAIGE
Après avoir lu le premier livre, j’étais dans un état d’excitation assez démesuré si vous vous souvenez de mon coup de coeur, que ce soit pour l’histoire aussi bien que pour les personnages.
Ce premier opus était une histoire, dynamique et addictive, tout en étant différente de tout ce que j’avais lu à ce moment là, vous vous imaginez bien que je ne pouvais pas attendre que le deuxième livre sorte.

Alors est-ce que c’est dû à l’attente, à autre chose, ou parce que j’avais eu un coup de coeur pour une duologie dans la même veine ? Cette fois-ci, rien !! Nada !!
En commençant cette histoire, je n’ai eu aucun sentiments quelconque. Les personnages que j’aimais, dans l’opus précédent, m’ennuyaient fermement. Pour moi, l’histoire a continué mais à tourner en rond en plus d’être assez prévisible et ennuyeuse, tout ça dans le même temps. Rien ne m’a séduite comme dans le premier roman et personnellement, je pense qu’il a perdu une partie de sa complexité et de ce qui m’a tellement plu.
#DonovanKincaid #SabrinaLind
En entamant ma lecture, j’ai eu l’impression à une tonne de mélodrame, une tragédie après l’autre… Il y a certains drames que j’aime lire, puis il y a des drames que je ne peux pas supporter, et là, c’était ça !
Sabrina était tout le temps inquiète, blessée, il n’y a pas eu un moment sans qu’elle soit jalouse, alors qu’il n’ y avait aucunes raisons à cela, à part des stupidités.
J’avoue avoir eu envie que Donovan la trompe au moins une fois afin qu’elle puisse avoir une raison d’avoir le cœur brisé, j’aurais aimé que cela se produise vraiment. Parce que j’ai eu l’impression de voir une girouette plutôt qu’une femme amoureuse. Non, je n’ai pas confiance en lui, mais putain qu’est-ce que j’aime quand il est salaud avec moi.
Perso, si un homme me regarde à la caméra c’est parce que je le veux, mais surement pas à mon insu.
Il lui aurait même décroché la lune s’il avait fallu.
DIRTY RICH LOVE – LAURELIN PAIGE
Pour moi ce second livre devait représenter le moment où le couple s’avoue enfin ses sentiments, découvre qu’ils sont amoureux l’un de l’autre, là… C’était juste n’importe quoi pour moi. Du coup, je ne sais pas si Hugo & Cie compte publier les histoires consacrées à Weston King, mais j’espère que j’apprécierais plus que ce second tome qui m’a déçue.

Soudain, le sol se déroba sous mes pieds, comme si on avait arraché le plancher d’un seul coup. J’ouvris grand la bouche, mais rien ne sortit. Pas un mot, pas le moindre son.
Il était là… avec cette satanée Sun, la femme la plus magnifique de la planète, et la seule chose que j’étais capable de faire, c’était de rester là, plantée comme une momie, à les regarder, totalement muette.
– Ce n’est pas ce que tu crois, dit Donovan en se levant avec précipitation.
La façon qu’il avait de cligner des yeux, d’éviter de me regarder franchement, et la lourde respiration qui s’ensuivit m’indiquèrent qu’il avait parfaitement compris la banalité de ce qu’il venait de dire. Il avait l’air totalement coincé.

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