Quelques infos sur le livre :
Flirt
- Auteur : Lauren Rowe
- Serie : Le Club
- Genres : Romance
- Editeur : JC Lattès
- Collection : &moi
- Publication: 04/ 05/ 2016
- Edition: Numérique
- Pages : 380
- Prix : 8,99€
- Rating:
Résumé :
Connaissez-vous le Club, où tous vos fantasmes deviennent réalité ? Rejoindre cette agence très sélecte, très chère et très mystérieuse, c’est l’assurance de faire des rencontres inoubliables. Voilà en tout cas ce qu’espère le sexy Jonas Faraday, qui rêve d’en devenir membre pour pouvoir enfin multiplier les aventures d’un soir. S’il ne lésine devant aucun argument dans sa lettre de candidature, il va bien vite être remis à sa place… Car sa « jolie chargée d’admission » ne se laisse guère impressionner par ses prétendues prouesses sexuelles. Troublé, Jonas n’a plus qu’une idée en tête : retrouver cette femme. À n’importe quel prix.
Avis de Ninie :
Cette lecture n’était pas immédiatement au programme mais au diable ma PAL, j’avais envie de le lire, même très envie et c’est maintenant chose faite. J’avoue avoir été attirée par toute la comm autour du livre. JC Lattès et la Collection &moi savent bien attirer l’attention des gens.
Ma lecture n’a pas été un coup de coeur, il s’en est fallu de peu mais c’est passé à un cheveu de la lecture inoubliable, malgré cela il mérite tout de même 5 étoiles car j’avoue que j’ai éclaté de rire à de nombreuses reprises et j’en ai eu pour mon argent.
Le personnage de Jonas Faraday est une pépite d’or en barre. Il est d’un prétentieux, plus d’une fois je me suis dis que ce gars avait l’art et la manière de se faire mousser. C’est le genre de gars arrogant, pompeux et mielleux qui me débecte habituellement, heureusement que c’est un personnage de roman, du coup on lui pardonne tout ou presque. Il ne doute pas de son talent à satisfaire la gente féminine avec sa langue. Avec lui c’est le nirvana ou rien, il ne manquait plus qu’il soit méprisant avec les femmes et pour moi c’était l’apothéose, le summum du mauvais goût, heureusement il a prouvé qu’il savait se faire pardonner les débilités qu’il raconte.
Sarah Cruz, elle, m’a séduite avec sa répartie. Dès le premier instant, la jolie chargée d’admission ose remettre le séduisant Jonas Faraday à sa place, et elle n’y va pas de main morte bien au contraire. Elle est fraîche, pétillante, intelligente, charmante et pardessus tout elle souhaite trouver l’amour avec un grand A, mais désespère de le découvrir. Elle ne cache pas qu’elle fait partie des 10% de la population féminine à n’avoir jamais eu d’orgasme. Elle est plus terre à terre que Jonas.
On découvre que tous deux n’ont pas eu une enfance facile et que chacun d’eux le gère différemment. D’ailleurs on le remarque avec la façon dont Jonas entreprend tout pour découvrir qui est cette jolie chargée d’admission qui lui a rabattu le caquet.
Je pensais qu’avec cette adhésion au Club, j’allais être submergée avec de la romance érotique, mais ce n’est pas le cas, au contraire, je suis légèrement déçue parce que je n’ai pas découvert l’étendue de ce fameux club, même si l’auteur Lauren Rowe nous fait découvrir l’envers de son décor. Lauren Rowe rajoute une dose de piquant et d’actions à laquelle je ne m’attendais pas. cela soulève pas mal de questions de ma part.
Concernant la plume de l’auteur, je la trouve fluide, très agréable à lire, j’ai dévoré son roman en à peine quelques heures. Et maintenant il me tarde de découvrir la suite, j’avoue que ma curiosité est piquée, alors rendez-vous dès le 29 juin pour la sortie du second tome.
Extrait :
Avec un large sourire, je recommence à écrire.
« À présent, je m’adresse à vous, ma jolie chargée d’admission. »
Je m’en pourlèche d’avance.
« Avez-vous apprécié l’honnêteté brutale de mes pensées ? Mes secrets les plus noirs ? Moi, cela m’a plu de les coucher sur l’écran. Jamais je n’avais dévoilé ces vérités à quiconque. Je ne les avais même jamais pleinement développées dans ma tête. Cela a été une expérience instructive de me confesser à vous… et à moi-même en même temps. En fait, vous raconter tout cela m’a tellement excité que j’ai dû faire une pause pour aller me branler. »
Je souris. Quel parfait connard !
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