Quelques infos sur le livre :
- Auteur : Sophie Jordan
- Serie : Devil’s Rock
- Genres : Romance
- Editeur : Milady
- Collection : Sensations
- Publication: 28/04/ 2017
- Edition: Poche
- Pages : 480
- Prix : 6,90€
- Rating:
Résumé :
Le véritable crime est de nier ce que l’on ressent.
Le danger est inscrit dans chaque muscle de Knox Callaghan et ses yeux bleus ont le pouvoir de déceler les pensées les plus intimes de Briar Davis, une jeune infirmière. Il n’y a qu’un problème : Briar travaille au pénitencier et Knox y est incarcéré pour meurtre. Irrémédiablement attiré par Briar, Knox fait tout ce qui est en son pouvoir pour la protéger de sa noirceur et ne pas l’impliquer dans sa vie déjà compliquée. Elle est trop innocente, trop douce, et n’a aucune idée de ce dont il est capable. Mais tout sacrifice a ses limites…
Avis de Mela :
Tout comme le livre « Hors-la-loi », paru chez Milady également, j’attendais avec impatience ce titre et il était dans ma wishlist depuis un moment.
La couverture et le résumé m’avaient plu car une histoire dans le huis clos d’une prison, me paraissait captivante : des criminels, des bads boys, des bagarres… tout un programme !
Mais hélas quelle déception !
Certes il y des bagarres, du criminel, une attirance indéniable entre la jolie infirmière un peu naïve et le méchant garçon qui veut rester insensible et même une émeute survient. Je me suis dit chic, un peu d’action sauf que dès que Knox, lui c’est le méchant criminel emprisonné pour meurtre, est libéré en conditionnelle au bout de huit ans, et même s’il veut rester éloigné de Briar Davis, la jolie infirmière, il ne peut s’empêcher de penser à elle et de lui courir après.
S’en suit alors des séances de baise très satisfaisantes pour les deux parties, des fuis-moi je te suis, des je t’aime moi non plus… enfin bref des scénarios que j’ai déjà lu et relu à maintes reprises et qui ont gâché ma lecture et mon enthousiasme.
Et pour tout vous dire, je ne sais pas si je lirais la suite si il y a une parution en français d’un second tome.
Extrait :
Il conservait une expression neutre, toujours impassible, mais le simple fait de le voir face à elle – le guerrier viril qui semblait tout droit sorti d’une autre époque, quand les hommes portaient des cottes de mailles sous leur armure et fracassaient des crânes à tout-va – fit ressortir quelque chose du fond de ses tripes et lui procura tout le soutien dont elle avait besoin.
Elle l’avait vu en action, aussi rapide et mortel qu’une vipère, se battant avec une énergie animale pour la protéger et la défendre avec plus de passion qu’elle n’en avait jamais vu – ou ressenti. Car elle en avait ressenti, tout comme elle l’avait ressenti, lui. Et elle le ressentait encore : son regard sur elle était comme une caresse physique. Briar ressentit une vague de chaleur l’envahir…
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